Un label de pérénité

Le monde que nous connaissons est gouverné par l’économie, c’est un fait.

Les premiers économistes dits "classiques" (Adam Smith, David Ricardo, Jean Baptiste Say, Thomas Malthus)
défendaient la liberté individuelle et la pensée selon laquelle le marché est autorégulateur.

D’après cette vision des choses, l’État doit intervenir le moins possible.

Néanmoins, Aujourd’hui, le modèle de l’autorégulation a montré ses limites et a laissé place à une économie politisée,
où l’État interfère dans les décisions micro ou macro-économiques par l’intermédiaire de mesures politiques
(souvent nationalistes, par exemple « America first » de Donald Trump).

A mon sens, le modèle classique de l’autorégulation est toujours valable et devrait être universellement partagé, mais il manque quelques paramètres cruciaux pour garantir sa validité sur le long terme.

Pour rappel, les principes de base de l’économie
sont les suivants :

les individus sont amenés à faire des choix,

selon leur budget, et donc de manière réfléchie,

de manière empirique.

À mon sens, il manque ici 2 notions fondamentales :

en assurant une continuité.

dans un monde aux resources limités


Grace à ces 2 notions complémentaires, on peux poser un principe de base
qui rend le modèle stable dans le temps et universel :

Un business, quel qu’il soit, ne peut être pérenne que s’il prend en compte son propre devenir, et celui de ses ressources.
C’est ce que nous pourrions appeler 
« le principe de pérennité ».

Cela rejoint la pensée de Louis Baudin selon laquelle les lois économiques ont « un degré de permanence et de certitude » qui n’est pas différent de celui des lois physiques.


L’exemple de l’agriculture est tout naturellement celui qui s’impose : Ce modèle est tout naturellement l’un des plus vieux business connu ;
il veille à sa propre continuité, et ce de manière infinie.
Après avoir récolté, on réinjecte de la ressource, ce qui nous permet de récolter à nouveau.

Si l’on intègre ces paramètres dans un business, il devient alors pérein et vertueux.

Exemple:  lorsque l’industrie du bois replante un arbre chaque fois qu’elle en coupe un, 
 le cycle est assuré. Il s’agit donc de permettre à la ressource d’être inscrite dans un cycle.

Or notre siècle a connu un fort accroissement de l’économie, ce 
 mais sans conscience de ce principe de pérennité;
ce qui ne peut que conduire à l’effondrement du système global.

Nous avons pensez à une solution, une solution de raison : 
 créer un label de pérennité, un label apposé à chaque entreprise
un label qui serait un indicateur strict et réglementé. Ce label pourrait se composerait d’une note de oscillant de A à F. 

label

Basé sur des critères obéissants aux secteur(s) de l’entreprise, et en croisant les différentes notes obtenues selon ces critères, une note découlerai et donnerai place à la note global.

Légiféré et garantit par l’Organisation Mondiale du Commerce
ce label ciblant les entreprises mères (et non pas les filiales), 
garantirai une transparence et une total connaissance de l’impact environnemental de l’entreprise en question.

L’humain étant l’artisan du système économique
Il saura, nous en sommes convaincu, 
choisir en toute conscience en étant informé et conscient de l’impact de ladite entreprise et de sa propre implication sur le marché.